Le château pour pets-play et puppy-play

Catégories : Pony-play Pets-play Puppy-play
il y a 5 ans

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Venez vivre ou faites vivre une réelle immersion dans ce monde au château des pets et puppy. L’infrastructure est conçue pour, le personnel est formé pour respecter votre désir à la lettre. Les Maîtres et Maîtresses des lieux sauront vous faire vivre votre passion ou vos fantasmes jusqu’au bout.

Ces personne vivent leurs vacances comme des bêtes. Elles logent dans un chenil attenant à la maison, ne mangent que de la nourriture pour animaux et ne sortent de leurs cages que pour subir tous les sévices qu'elles ont imaginés tout au long de l'année.

Si certain(e)s de nos client(e)s y laissent régulièrement leurs économies d’une année entière et reviennent tous les ans, ce n’est pas hasard. Tout est fourni de A à Z, vous pouvez venir les mains dans les poches, une fois les documents signés et la cotisation réglée, vous n’aurez plus rien à gérer et pourrez alors laisser aller totalement le côté animal qui est en vous.

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Cette annonce commerciale lue sur fessestivites titille fortement Laurie, surtout que les pages d’évaluation de ce « chenil » sont toutes élogieuses. La société est enregistrée en France et elle a un numéro de SIREN. Le seul réel bémol est le prix des séjours. Mille huit cent euros les 15 jours ou trois mille euros le mois payable d’avance par virement bancaire !

Ce qui titille fortement Laurie, c’est le secret qui tourne autour de ces stages en immersion. C’est pire que le côté caché de la franc-maçonnerie. Les gens disent que c’est génial, grisant mais personne n’en dit plus.

Lorsqu’elle les a contactée par email en demandant un appel téléphonique, le service a été à la hauteur du prix et de la qualité annoncée. A l’heure pile convenue, une dame charmante au téléphone a répondu à une partie de ses questions sans dévoiler quoi que ce soit du contenu du séjour, comme si c’était un secret de fabrique.

Si l’envie de s’offrir un tel séjour titille Laurie, c’est parce qu’elle a déjà un peu vécu cette expérience avec un Maître qui aimait bien le pets-play. Le seul souci c’est que c’était toujours trop court. Elle garde malgré tout un souvenir impérissable des moments où, après avoir été attachée une heure à quatre pattes, il venait la prendre comme une chienne en soulevant la petite queue de chienne et la cagoule de puppy-play qu’elle s’était offerte sur ABCplaisir.

Son Maître l’a abandonnée pour prendre comme femme et soumise une poufiasse blonde sans cervelle qui, à présent, le faisait tourner en bourrique. Si elle n’a plus envie de souffrir autant côté coeur, Laurie continue de rêver de BDSM et de pets-play imposé. Voilà pourquoi cette annonce l’a poussée à se renseigner. Au plus elle avance dans son « enquête », au plus elle a envie de céder à la tentation.

Trois mois plus tard, Laurie finit par craquer et réserver. Le fait que sa facture et une copie des conditions générales qu’elle a validées lui soient adressées par courrier et non pas par email la rassure, surtout qu’elle dispose du droit légal de rétractation. Si c’était de l’arnaque, cela ne serait pas aussi carré pense la belle soumise tout excitée.

Les vacances posées, les billets de train réservés, Laurie commence à « flipper » un peu. Le site internet du « château des pets et puppy » ne montre que les photos des lieux. De magnifiques cages dans un chenil haut de gamme, la clinique vétérinaire, le parc et la zone d’agility servant à l’éducation canine. Le tout laisse apparaître que les lieux sont parfaits en tous points pour les chiens et chiots. La seule chose qu’elle peut faire, c’est s’imaginer dans ces lieux.

Le jour J, autant excitée qu’inquiète, lorsqu’elle arrive à la gare de Arles, Laurie n’ose pas descendre du train. Lorsque la SNCF annonce « attention au départ » elle se décide à sauter du wagon en se disant « aléa jacta est ». Devant le bâtiment, une femme d’une quarantaine d’année l’attend devant un gros 4x4 avec un panneau à la main indiquant « château ». Le fait que cela soit une femme la rassure un peu. « On n’envoie pas une femme pour enlever quelqu’un » se dit Laurie. L’accueil est chaleureux, la poigne de main ferme, le sourire réel et non pas commercial.

  • Laissez-vous aller, décontractez-vous, nous nous occupons de tout ! Lui répond la conductrice au lieu de répondre aux questions de Laurie. Je m’appelle Maîtresse Jade je suis ravie de faire votre connaissance et de vous accueillir chez nous. En arrivant nous passerons au bureau pour signer les papiers, une fois signé et vos effets personnels enfermés dans un coffre dont vous seule connaîtrez le code, vous serez prise en charge pour tout.

En arrivant à destination, Laurie constate que l’entrée du « château » est un immense portail électrique et que les murs de la propriété sont en dur et très hauts. Le dit « château » n’en n’est pas vraiment un, c’est plutôt une magnifique maison bourgeoise avec deux tours. Maîtresse Jade gare le 4x4 devant un bureau attenant et l’invite à descendre avec élégance en lui tendant la main. La première chose qu’elle lui demande c’est de mettre ses effets personnels dans un coffre en lui indiquant comment choisir un code.

  • La partie administrative est un peu fastidieuse, j’en suis désolée, mais c’est avant tout pour votre sécurité. Je dois savoir si vous être claustrophobe, si vous avez de l’asthme, enfin tout un tas de trucs de ce type là pour que votre séjour se passe au mieux.

Elle lui rappelle qu’un infirmier lui fera un test HIV pour la sécurité de tous et qu’un médecin lui fera passer une petite visite médicale. Elle noie en réalité Laurie d’informations autant pour la rassurer que lui faire signer le règlement intérieur pouvant être effrayant.

  • Si nous prenons autant de précaution sanitaire, c’est parce que les pets et puppy peuvent se mordiller par exemple quand ils jouent. De fait une personne porteuse du virus HIV qui nous aurait mentie, seraient tenue à l’écart ou remboursée. Croyez bien que je suis désolée mais la sécurité et la santé de nos clients sont vraiment une priorité pour nous. Je vous laisse signer en bas de ce document.

Le dossier fait plus de 15 pages de conditions écrites en petits caractères. Laurie à présent rassurée n’a qu’une envie : que cela commence !

Maîtresse Jade la remercie et la guide à la clinique vétérinaire où l’attend un docteur en blouse blanche. A peine est-elle assise sur la table d’auscultation, qu’une épaisse cagoule lui est passée sur la tête. Ses mains sont aussitôt menottées, ses chevilles entravées. Tétanisée dans un premier temps, Laurie ne tarde pas à se débattre quand ils l’entravent sur la table. Sa jupe et sa culotte sont baissées, ses jambes soulevées de telle façon que son intimité ne peut pas être plus offerte. C’est effectivement une visite médicale qu’elle subit, sauf quelle est plutôt « musclée ». Un plug avec une queue en caoutchouc et rapidement logé dans ses fesses, par précaution, son maintien est renforcé par des liens de cuir.

Retournée comme une crêpe, Laurie se retrouve à quatre pattes sur la table. Des moufles sont posées à ses mains et cadenassées. Elle est maintenue en position par une sangle ventrale puis soulevée pour la pose de genouillères. Ses chevilles ne sont pas pour autant libérées, cela leur évite des coups de pieds. Après lui avoir retiré les menottes, le vétérinaire finit de la dévêtir sans lui retirer l’épaisse cagoule. Lorsqu’il la lui retire, ce n’est que pour lui en poser une autre représentant la gueule d’un chien avec une muselière.

Si elle n’avait pas été entravée et aveuglée dès le départ, Laurie aurait effectivement craquée et se serait débattue. Le fait d’avoir été bloquée l’a finalement obligée à rentrer dans la bulle de « je n’ai plus le choix ». Maîtresse Jade lui pose un collier froid en acier et le cadenasse en lui disant « bienvenue petite chienne ».

Le vétérinaire lui fait alors le test HIV en lui rappelant que c’est pour la sécurité de tous. « Je comprends » répond Laurie qui se prend aussitôt une claque sur les fesses.

  • Un chien ça ne parle pas ! La prochaine fois, la punition sera plus sévère. Lui indique Maîtresse Jade.

Prestement descendue de la table, Laurie est posé à même le sol où la position à quatre pattes lui est imposée. Tirée par la laisse, elle est conduite en extérieur et attachée à un gros anneau fixé dans un mur. Ce n’est que lorsque le jet d’eau froide la percute qu’elle comprend quelle va être « douchée » à la sauvage. « Toilettée » rudement et sommairement, Laurie parvient tant bien que mal à résister à l’eau froide sans trop bouger. Par chance, il fait au moins 35 degré au soleil !

  • Les soumises comme toi, en apprentissage, n'ont pas le droit d'utiliser les commodités. Comme les petites chiennes qu'elles sont, elles doivent se soulager dehors et leur toilette consiste à les étriller à la brosse et au jet d'eau. Si tu as envie de pisser c’est maintenant parce que si tu pisses dans ta cage tu seras punie.

Laurie est bloquée, avec son Maître, elle y arrivait, là c’est tellement différent que c’est impossible pour elle. Cette mise en condition est franchement brutale, pour l’instant, elle n’arrive pas à retrouver cet état « animal » qu’elle a pu connaître par le passé.

Maîtresse Jade la tire alors par la laisse pour la conduire au chenil quelle a pu voir sur les photos du site. Au lieu de la faire entrer dans une des grandes cages, elle en ouvre une petite qui ne lui permettra pas de se mettre debout. Le sol est recouvert d’un long coussin propre et c’est tout. Sa laisse est retirée, la porte se referme sur elle avant d’être cadenassée. Par le bas de la porte aux gros tube d’acier, elle lui passe une gamelle d’eau et de croquettes.

  • C’est une gamelle avec des croquettes de chez ABCplaisir, elles sont faites pour les humains. C’est ce qui te sera servi comme repas ce midi. Tu auras 3 repas par jour. Tu n’as plus droit ni à une table ni à une chaise et encore moins à des couverts pour que tu puisses apprendre à devenir animal au-delà de tout ce que tu peux imaginer. Essaye de ne pas renverser la gamelle d’eau, cela t’évitera de souffrir de la soif.

Abandonnée là sans plus de commentaire ou d’attention, Laurie se sent si animal, si chienne si dépossédée d'elle-même que l'émotion embue ses jolis yeux. L’entrée en matière a été plutôt rude, elle ne s’attendait pas du tout à cette façon de procéder. Elle s’imaginait dans un salon couchée sur un tapis, pas dans une cage à l’extérieur. Là elle est réellement dans un chenil, et pas réellement comme dans ses fantasmes.

Ses surprises ne font que commencer. Elle va découvrir que l’on peut réellement devenir mentalement comme une chienne et cela, de la pire des façons.

La suite est sur plaisirs-interdits puisque que personne n'a fait de commentaire sur l'histoire

Jolie début.
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